Actualité Xiane

Casse tête

Le site internet de la mairie de Sainte-Enimie est en construction à l'adresse : www.mairie-sainte-enimie.fr ,

Le site n'est pas totalement terminé, vous y trouverez déjà des informations, pourrez télécharger une grande partie des documents administratifs, demandes, compte rendu des adjoints, cartes, plans et autres.

Ce site est évolutif, créé et entretenu par l'équipe administrative et les élus, il doit permettre une meilleure diffusion de l'information entre la commune et ses habitants.

- Mettez cette adresse dans vos favoris : www.mairie-sainte-enimie.fr -

N'hésitez pas à nous indiquer les bugs que vous pourriez rencontrer ainsi que les informations ou rubriques que vous souhaiteriez voir apparaitre.

Site municipal

"Ce beau temps nous permet de voir encore quelques randonneurs et visiteurs ....d'admirer de beaux rallyes de magnifiques véhicules...et de nous prélasser sur les terrasses de cafés encore ouverts."

L'été indien sans doute jusqu'à la Toussaint

Nous ne vivons pas actuellement un été « indien ». Pour savoir où et quand le trouver, il faut écouter la chanson de Joe Dassin quand il parle d’un "automne où il faisait beau, une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique". C’est exactement ça, en automne et au nord-est des Etats-Unis et dans le sud-est du Canada, notamment le Québec. Au Canada, on dit d'ailleurs l'été des indiens.

L'expression "Indian Summer" serait apparue au 18 ème siècle en Pennsylvanie, puis à New-York et dans la région de la Nouvelle Angleterre. Pendant cette période les indiens profitaient du redoux pour faire leurs provisions et leurs dernières parties de chasse avant l’hiver. C'est une hypothèse.

Concrètement, l’été indien est une période de beau temps doux après les premières gelées avec des températures de cinq degrés au- dessus de la normale. Si on enchaîne trois jours consécutifs de beau temps dans ces conditions, on parle alors d'été indien. Le phénomène est dû à un anticyclone qui se fixe sur les régions concernées en octobre ou novembre.

Chez nous, un été pourri suivi d'un automne estival, un mois de septembre qualifié par la "Nasa" de plus chaud jamais relevé depuis 134 ans sur la Terre et octobre qui va finir à coup sûr en France avec un excédent thermique remarquable …

Rien ne va plus sur la planète …D'autant que les valeurs enregistrées ces dix premiers mois de l'année placent d'ores et déjà 2014 au deuxième rang des années les plus chaudes jamais enregistrées en France. Mais qui s'en plaindra à part les vacanciers de juillet-août?

Les vacances d’automne sont selon les observateurs, marquées par des températures encore exceptionnelles. Les prévisions indiquent en effet «une anomalie chaude» pour les 8 à 15 prochains jours. Et les tendances saisonnières, fiables à 60 %, n'annoncent pas de grand froid pour la fin de l'année à part, peut-être une période froide précoce en novembre. En attendant,Profitons-en !!!

Certain appellent ces périodes de douceur l'été de la Saint-Denis (autour du 9 octobre) ou été de la Saint-Martin (vers le 11 novembre).

La stèle funéraire a été déplacée

Un lecteur, Mr Monteils du Plô à Ste Enimie nous écrivait il y a quelques temps :

- "Dans l’un des angles de la cour du collège de sainte-Enimie (contre le mur de la salle capitulaire) existe, sans doute depuis la nuit des temps, un monument funéraire, fait d’un bloc de pierre.

Dans un article intitulé: “Antiquités des environs de Florac et inscription de

Sainte-Enimie en pages 274/276 du bulletin de la société nationale des antiquaires de France” paru en 1884, il est indiqué que dans le jardin de l’ancien couvent de la commune, il existe un cippe funéraire en forme d’autel, avec base et couronnement retaillé sur les quatre faces, mais sans vestige appréciable, sauf peut-être un D à la première ligne. L’exécution accuse d’ailleurs une époque de décadence ou un artiste inhabile”.

La porte de la cour du collège étant ouverte, ces derniers jours, j’ai pu voir ce cippe de prêt (c’est la première fois...). La lettre D n’est pas visible sur les trois faces apparentes de ce monument. Elle est peut-être à l’arrière?

Mon fils, Maitre de conférences en histoire de l’art (période romaine) à

l’université de Nantes, qui m’accompagnait, pense que ce monument peut

raisonnablement être daté du courant du IIème siècle après J.C.

Il s’agit là, en tout état de cause, d’un élément du patrimoine de notre village,

ignoré de tous ou presque et qui mériterait, à mon sens, d’être mis en valeur."

Ilest répertorié dans un document intitulé "carte archéologique de la Gaule" que vous pouvez lire en cliquant ici

" Que de richesses méconnues dans notre belle commune...N'hésitez pas à aller admirer ce cippe funéraire dans la cour du collège...et à nous renseigner sur tout autre partie de notre patrimoine"ignoré de tous ou presque". -

En cette veille de Toussaint, Il a été entendu :la stèle a été déplacée par nos employés communaux devant l'église de Notre Dame du Gourg, où elle restera bien visible de tous.

Merci à Alain Chmiel notre Maire d'avoir su encore une fois être à l'écoute des Santrimiols.

La barre du milieu existe t'elle ?

Quand la gestion de l’eau se décide autour de la source de Burle

Le 17 octobre dernier à Sainte-Énimie, Alain Chmiel, maire de la commune, et Jean-Luc Aigouy, président du Syndicat mixte du Grand Site des gorges du Tarn, de la Jonte et des causses, ont accueilli les membres de la commission territoriale Tarn-Aveyron, instance de concertation composée d’élus, d’usagers et de services de l’État concernés par la gestion de l’eau à l’échelle des bassins versants des rivières Tarn et Aveyron. L’assemblée, présidé par Thierry Gentilhomme, préfet du Tarn, a procédé à l’élection de son président et de son vice-président, sièges auxquels André Cabot, vice-président du Conseil général du Tarn, et Yves Regourd, président du Syndicat mixte du bassin du Viaur, ont été réélus à l’unanimité.

Après une présentation de la Dreal Midi-Pyrénées sur les objectifs de débits des rivières à respecter en période d’étiage, l’assemblée a débattu de la mise en place d’une structure de gestion de l’eau à l’échelle du Tarn-Aveyron. Une étude pilotée par le Conseil général du Tarn en partenariat avec les Départements de la Lozère, de l’Aveyron et du Tarn-et-Garonne est en cours. C’est l’occasion de rappeler qu’à une échelle plus locale, celle du Tarn-amont, bassin versant de 69 communes de l’Aveyron, du Gard et de la Lozère, une réflexion est également en cours avec l’ensemble des collectivités concernées pour mettre en place un syndicat mixte interdépartemental pour l’animation du schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE), dont l’objectif est la conciliation du développement économique du territoire et de la préservation des milieux aquatiques.

L’agence de l’eau Adour-Garonne, la délégation de Lozère de l’Agence régionale de santé et le Syndicat mixte du Grand Site des gorges du Tarn, de la Jonte et des causses ont ensuite présenté à la commission territoriale Tarn-Aveyron l’état des connaissances sur les cyanobactéries benthiques, les suivis et la communication mis en œuvre pour prévenir les risques auprès de la population locale et touristique. Une visite de terrain à la source de Burle et sur le site de baignade du pont, animée par David Meyrueis du syndicat mixte, a conclu cette belle journée de travail.

Plus d’informations : http://www.eau-adour-garonne.fr/fr/qui-sommes-nous/bassin-versant-tarn-aveyron.html

Les brèves de Michel G.